Sorry for the short notice, I just found this document .
This is what you are required to do for tomorrows TD Droit Penal Homework.
It was not explained so thoroughly in class. All you need to do is the Introduction and the plan.
Goodluck !!!
Désolé pour le délai, j'ai trouvé ce document
maintenant
.
C'est ce que vous devez faire pour le devoir de TD Droit pénal demain.
C'est ce que vous devez faire pour le devoir de TD Droit pénal demain.
Ce n'est pas été si bien expliqué en classe. Tout ce que vous devez faire est une introduction et le plan.
Bon
travail, bon courage et bonne chance!
NOTE DE
SYNTHESE
INTRODUCTION
La synthèse est un exercice de plus en plus pratiqué,
en entreprise d’abord, et par voie de conséquence dans la plupart des écoles.
Il s’agit de vous préparer à rendre compte d’un ensemble
de documents, parfois très nombreux, d’une façon claire et dynamique, afin
qu’on puisse se faire rapidement un avis sans avoir besoin de prendre
connaissance de ce corpus.
Nous allons donc revenir sur cet exercice en procédant
étape par étape : nous envisagerons donc :
- les sujets généralement proposés
- la façon dont vous devez lire les documents, pour en identifier le thème et la problématique (c’est-à-dire la question autour de laquelle ils tournent)
- la façon dont vous devez analyser chaque document pour en analyser les idées principales
- comment vous devez élaborer votre plan
- les grandes phases de la rédaction
1. LES SUJETS PROPOSES
- Le libellé du sujet
En entreprise, on vous donnera bien sûr des sujets
techniques ; mais dans le cadre scolaire et universitaire, on vous donne
plutôt des dossiers consacrés à un problème de société.
Un libellé précède toujours le dossier ; lisez-le
attentivement car y figurent les instructions précises auxquelles votre travail
doit répondre.
En effet, ce libellé vous donnera :
- le thème de la synthèse (en général)
- parfois une indication sur le plan attendu (" vous dégagerez les causes et les conséquences… ")
- éventuellement des demandes précises ; en particulier, on vous demandera parfois de donner votre avis en conclusion.
1.2. Le dossier
On peut souvent être apeuré en lisant le
dossier : quantité des documents, diversité des types de documents
(images, articles, poèmes,…) ou des sujets dont ils traitent,…
Il est rare d’échapper à l’un ou l’autre de ces
problèmes ; à chaque fois, il faut d’abord montrer que vous êtes capables
de vous adapter… sans fuir les difficultés !
Voici quelques pistes pour échapper aux pièges les
plus fréquents :
1.2.1. Cas d’un dossier très lourd
Dans ce cas de figure, il y aura toujours des
documents très simples, avec une seule idée, et d’autres beaucoup plus
fournis ; triez-les donc, centrez-vous sur les documents les plus
riches ; vous n’aurez aucune peine à rajouter ensuite à votre plan les
autres documents.
1.2.2. Cas d’un dossier avec des documents de nature
différente
comment dégager des idées d’un dessin, d’un
poème ? Ici, impossible de rester complètement neutre comme on vous le
demande normalement : il va bien falloir vous engager, dire quelles idées
sont suggérées par telle photo, tel poème,… Pour vous en sortir, il suffit de
vous laisser guider par le problème que les autres documents ont éclairé. En
quoi la caricature qu’on vous propose prend-elle position sur le même problème,
par exemple ? Avec une telle démarche, les idées devraient vous venir
facilement.
1.2.3. Cas d’un dossier dont les documents traitent de
sujets différents
Quand cela arrive, c’est le problème le plus gênant ;
vous avez quatre documents qui parlent tous de l’urbanisme, par exemple, et en
voilà un cinquième qui traite des campagnes ! Grande est alors la
tentation de mettre de côté le document qui vous gêne… et c’est ce qu’il ne
faut surtout pas faire !
Vous devez synthétiser tous les
documents ; il faut donc absolument changer votre problématique et
l’élargir, afin de faire rentrer le document rebelle à tout prix dans votre
travail.
2. LA LECTURE DES DOCUMENTS : THEME ET
PROBLEMATIQUE
En autant de lectures que vous en avez besoin (mais en
faisant attention à la gestion du temps !), il va falloir identifier
successivement :
- le thème (s’il n’a pas été donné dans le libellé)
- l’idée générale propre à chaque document (et que ne reflète pas forcément son titre !)
- la problématique
Cette problématique, c’est la première étape-clé du
travail : c’est la question générale qu’on peut poser sur le corpus, et à
laquelle chacun des documents répond à sa façon. Si vous sélectionnez une
question pertinente, à la fois assez large pour englober tous les documents, et
assez précise pour montrer leur plus petit dénominateur commun, vous tenez la
colonne vertébrale de votre travail. Votre plan, en effet, visera au fond à une
seule chose : répondre à cette question, que vous aurez énoncée en
introduction, et à laquelle vous apporterez votre réponse définitive en
conclusion.
3.1. Identifier les idées de chaque document
Revenez ensuite sur chaque document afin d’en relever les
idées essentielles.
Pour chaque texte, ce travail doit se faire
- en fonction de la logique d’ensemble du texte (de façon à voir les idées plus ou moins importantes, celles qui ont valeur de transition, etc.)
- en fonction des autres textes (une idée très secondaire pourra être retenue si vous en trouvez l’écho, de façon plus approfondie, dans les autres documents)
Vous devez rester le plus
" neutre " possible ; néanmoins, il s’agit aussi d’un
travail d’interprétation ; lorsqu’il s’agit de dessins, de publicités, ou
d’autres documents travaillant sur l’implicite en particulier, c’est bien à
vous de formuler l’idée qui n’est que sous-jacente. Soyez attentifs et
rigoureux !
Une fois ce relevé fait, et bien fait, il devrait être
inutile de revenir aux documents (sauf peut-être lors de la phase de la
rédaction) : puisque vous disposez maintenant de tous les arguments, vous
pouvez en effet travailler directement sur ces idées pour les organiser et
construire le plan.
3.2. Confrontation des documents
Comparez ensuite ces arguments afin de dégager des
" blocs " d’idées qui pourront servir de phases
(parties ? sous-parties ?) dans le plan
Pour cela, on conseille souvent de disposer les idées
retenues pour chaque document sous la forme d’un tableau, où à chaque colonne
correspondra l’ensemble d’idées d’un document donné. Il suffit alors
d’embrasser le tableau d’un seul regard pour voir se dégager les éléments
essentiels.
Là encore, ce travail ne saurait néanmoins être
purement mécanique ; à vous de repérer, sous des formulations différentes,
les idées qui se font écho, ou qui dépendent les unes des autres.
Tout ce travail permet de faciliter la construction du
plan.
4. LE PLAN
4.1. Fonctions du plan
Le travail déjà effectué vous a permis d’opérer un
premier classement des idées. Mais un bon plan obéit aussi à d’autres
impératifs.
Un bon plan vous permet
- de disposer d’un outil efficace pour la rédaction
- de construire un raisonnement clair
- de montrer que le contenu des textes peut se résumer à quelques idées fortes.
Avant tout, rappelons qu’il est hors de question de
traiter une partie des documents en I, une autre en II, etc. L’exercice visant
à vous permettre de déceler des logiques communes aux différents documents,
VOUS DEVEZ ABORDER LE PLUS DE DOCUMENTS POSSIBLE AU SEIN DE CHAQUE PARTIE.
4.2. Rappelons donc qu’un bon plan
- 4.2.1. Classe les idées (étape qui vous pose généralement peu de problèmes)
- 4.2.1.1. Repère non seulement l’idée centrale de chaque document, mais aussi les idées annexes, comme nous l’avons vu
- 4.2.1.2. Redistribue ces idées entre les parties ; vous devez trouver des axes de réflexion transversaux, vous permettant ainsi d’aborder le plus de textes possible à chaque instant de la réflexion. C’est pourquoi d’ailleurs un bon plan est détaillé (parties, sous-parties, sous-sous-parties)
- 4.2.2. Ordonne les idées
- 4.2.2.1.En fonction de la question
Tout votre plan
doit répondre à la question initiale ; vous éviterez donc un I de
" définitions ", au profit d’un plan dynamique, où chaque
partie aide à répondre à la question.
- 4.2.2.2. En fonction de l’ordre logique des idées à exposer
Un lecteur qui
ne connaîtrait pas la question doit pouvoir se faire une idée du sujet à
travers votre synthèse : il faut donc exposer vos idées en fonction du
plan, mais en vous arrangeant aussi pour qu’elles soient disposées de façon
logique.
- 4.2.3. Hiérarchise les idées (ce point dérive du précédent)
- 4.2.3.1. Votre progression générale doit aussi se faire en ménageant des places pour les points importants. Une tradition " cicéronienne " conseille de garder le plus important pour la fin ; mais encore faut-il s’entendre sur ce " plus important " ; en fait, mieux vaut commencer par les idées les plus courantes, ou encore celles qui dominent dans le corpus (en général, ce sont les mêmes). Vous garderez pour la fin du travail une idée certes importante, mais plus originale, ou plus générale, qui ouvre sur de nouvelles perspectives.
- 4.2.3.2. Il faudra tenter de hiérarchiser et d’ordonner les idées de façon similaire au sein de chaque partie.
Se pose alors
le problème des idées de niveaux très différents qui peuvent illustrer un même
problème. Il ne faut pas avoir une partie avec toutes les idées
" fortes ", et une autre partie où l’on ne trouvera que des
considérations sans intérêt ; il serait également maladroit d’avoir une
sous-partie fourre-tout faite des idées les moins porteuses. Pour ne pas
déconstruire votre logique, une possibilité consiste alors, dans chaque
sous-partie, à aborder un élément secondaire avant ou après une idée plus
forte.
Il est donc impératif de construire un plan détaillé
et efficace ; votre rédaction n’en sera que plus aisée, et vous éviterez
ainsi de vous répéter ou de vous embrouiller.
Dernières précautions une fois votre plan fini :
- vérifiez que toutes les idées relevées préalablement (cf. points 3.1. et 3.2.) figurent dans le plan
- vérifiez qu’il vous paraît entièrement compréhensible, et que vous savez précisément quoi dire à l’intérieur de chaque élément (cf. problème de certains étudiants qui se rendent compte au moment de la rédaction qu’ils n’avaient rien à dire dans une sous-partie de leur plan)
- vérifiez que l’ordre vous paraît logique ; imaginez un lecteur qui n’aurait aucune connaissance préalable du sujet dont vous allez parler, et demandez-vous s’il pourra facilement comprendre les informations que vous lui apportez
- vérifiez que l’ensemble paraît équilibré… et convaincant.
5. LA REDACTION
5.1.l'introduction :
5.1.1.Introduit le thème,
c’est-à-dire qu’il s’agit de poser le sujet ; pour cela, partez par
exemple d’une caractéristique générale, mais qui invite déjà à se questionner.
Attention :
- aux formules tellement larges qu’elles en deviennent creuses
- aux approches trop lourdement moralisatrices, généralement symptomatiques d’une difficulté à poser le sujet d’une façon précise (souvent très mauvais signe pour la suite de la synthèse).
5.1.2.Formule la question qui
va servir de fil conducteur à l’ensemble de votre travail, la fameuse
problématique, en vous arrangeant pour qu’elle découle logiquement de la phrase
initiale. On doit avoir l’impression que vous commencez à mettre en œuvre un
véritable raisonnement.
5.1.3.Présente rapidement
l'ensemble des documents et surtout leur nature (texte politique ?
technique ? scientifique ? journalistique ? etc.).
5.1.4.Annonce le plan, d’une façon logique.
5.2.la conclusion :
5.2.1. dresse le bilan final.
Il est bon, au lieu de reformuler
toujours les mêmes idées de la même façon, d’aller au cœur des problèmes
soulevés.
5.2.2. apporte éventuellement votre
conclusion personnelle, ou l'avis que vous proposez (c'est à cela que sert
le plus souvent la synthèse : ayant fait le tour du problème, vous pouvez
avancer désormais la position la plus adaptée).
5.3.conseils pour la rédaction de la synthèse.
- Vous n'avez ensuite qu'à suivre votre plan, en veillant à la clarté et à la correction de l'expression, et en renvoyant pour chaque idée au document qu’elle concerne.
- Citez peu les textes, et trouvez des formulations personnelles pour exprimer les idées figurant dans les textes
- Aérez votre travail, rendez-en l’organisation très claire : retraits en début de partie et de sous-partie, espaces entre les parties, transitions.
- Essayez de résumer au début de chaque sous-partie l’idée qu’elle va développer ; cela vous permettra d’être beaucoup plus clair et de rester fidèle à la logique générale de votre propos
- Utilisez des termes logiques pour toujours montrer la relation de vos sous-parties entre elles ; vous n’alignez pas des idées, vous construisez un raisonnement
- Enfin, rappelez-vous que même s’il ne s’agit que d’un exercice, votre pensée vous engage ; efforcez-vous de garder votre esprit critique, et de ne pas écrire des phrases qui vous paraîtraient plates et ridicules si vous les entendiez-vous même dans une discussion – la seule façon de rendre cet exercice intéressant, c’est de l’utiliser pour exercer vraiment votre pensée.